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IMPRESSION CHOCOLATEE
Ses yeux pailletés
Au long goût de noisettes
Se mélangent
A l'onctueux chocolat de son lourd regard
Impression de saveurs liquoreuses
Liquidités fondantes
Allongements
Harmonie de douceurs alanguies
Tendresse
Du coin des lèvres
Ses mains scintillent
A l'ombre de ses cheveux
...Là
Où sa bouche picore
De délicieux préludes.
Sous sa langue pétillent
De subtiles senteurs sucrées.
Gourmande
Elle se délecte
Des rondeurs sirupeuses aux suaves parfums
Des délices moelleux de ses lèvres pulpeuses...
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Tu es la plus belle de toute les fleurs,
Celle qui embellie ma vie,
Qui remplit ma tête de mille couleurs,
Même quand dans mon coeur tout est gris.
Ton sourire me redonne du bonheur,
Ton regard est si joli,
Qu'il fait battre bien plus fort mon coeur,
Ton charme entier me conquit.
J'aime ton parfum et ta douceur,
Je t'aime à la folie,
Et je t'aimerai jusqu'à ma dernière heure,
Jusqu'à mon dernier souffle de vie,
Tu seras toujours l'amour
Qui fait vaciller mon coeur.
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Mon monde
Je viens de quitter le monde réel,
Retournant ainsi dans le virtuel,
Les mots sont comme des crécelles,
Se transformant aussi en dentelles,
Dans ce monde découvrant les visages,
Mais surtout à travers les mots sans âge,
Mes yeux peuvent imaginer une plage,
Où la tendresse n'est pas en cage,
Je n'ai plus besoin de me déplacer,
Mes amies viennent me raconter,
Leurs espoirs un peu fous d'exister,
Cela sans cette réalité,
Les mains deviennent des messagères,
De ces mots qui ne sont pas éphémères,
Ceux qui ne deviendront jamais chimères,
Décrivant un moment des pensées chères,
Ce monde si souvent rempli de musique,
N'a pas de place pour la critique,
Ni pour la moindre réplique,
De ces messages que l'on explique,
La présence devient plus constante,
Semblable à une douceur présente,
Même si la voix est absente,
C'est la vie qui en moi chante,
Combien de joyaux ai je découvert?
Dans ce monde vivant à l'envers,
Il est vrai que le monde est de travers,
Non , que je ne désespère,
Ce n'est pas une fuite dans le temps,
Puisque la vie n'est plus comme avant,
Mon monde à moi est devenu différent,
Grande et parfois si petite enfant,
Dans ma main je détiens la belle clé,
De ce merveilleux chez moi enchanté,
Qui est fait de toute réalité, beauté,
Je ne fais que vous y inviter,
Je termine vite mes simples mots,
L'instant est unique, magique et chaud,
A ceux qui entreront dans mon tableau,
Je leur dirai que mon monde est beau
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Mon rêve
Est-ce un soleil qui se lève,
Pour ensuite se voiler?
Est-ce l'amour qui s'achève,
Avant même d'avoir commencé?
Tout cela me semble maintenant si irréel.
Si insensé, insondable, intouchable.
L'amour peut-il être si cruel?
Si dur, si froid, implacable?
Et si tout cela n'était qu'un trève?
Un faux printemps, une fausse sève?
Et si tout cela n'était qu'illusion,
À qui mille fois j'ai donné ton nom?
Comme un rêve voulant s'évader,
Dès les premiers rayons du jour.
Un rêve qu'on voudrait caresser,
Comme s'il s'agissait d'un amour.
Aurais-je imaginé tous ses murmures?
Confondu ses couleurs à celles de l'azur?
Aurais-je cru à l'amour,
Sans que jamais il ne voit le jour?
Les murs de ma vie tombent un à un.
Je ne sais plus qui je suis sans son parfum.
Tout est à découvert,
Mon ciel n'a plus aucun repère.
Je ne veux pas mourir,
Et je ne veux pas vivre.
Laissez-moi seulement son souvenir,
Avant qu'il ne dérive.
Et si tout cela n'était vraiment qu'un rêve,
Dans lequel je me suis noyé,
Je ne veux pas qu'on me relève,
Je rejoindrai le large, la mer qui m'a bercé.
Je partirai avec mon rêve,
Dans les creux de la mer effacés.
Là où j'abandonnerai toutes mes fièvres,Avant de m'en éloigner.
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Une vie comme beaucoup d'autres
Longtemps dans la Solitude j'ai erré ...
Sans jamais personne a qui pourvoir me confier
Dures et nombreuses déceptions que j'ai connues,
Me laissaient écorché, le coeur mis a nu.
Aussi, dans mes tourments, j'ai tout renié
Toute forme d'affection j'ai rejeté
Toujours plus, consolidant et blindant
De bien futiles barrières contre mes sentiments
Mais un jour tu es arrivée
Un jour tu m'as la Parole adressé
Joyeuse, insouciante, rayonnant la gaieté
Quelques mots de toi ont suffi pour m'emporter.
Depuis lors, dans mes rêves je te vois
Je te chéris, je guette partout le son de ta voix.
Tu ignores hélas l'étendue de mes sentiments
Mais sache que pour toi j'endurerai mille tourments.
Mais laissons la ces futilités
Car aucune de mes paroles ne pourrait traduire
A quel point j'aspire a un de tes baisers
Mais hélas, je n'ose me découvrir
Aussi, alors que les tourments m'assaillent de nouveau
Je n'ai su que faire, sinon écrire ces quelques mots
Si mon âme est triste ou que mes nerfs sont a bout,
Les tiens jamais ne devront aller de même
J'y veillerai, ton bonheur avant tout
Et n'oublie jamais que je t'aime ..
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